Guy de Compiègne fait une carrière d’architecte à Sydney et s’immerge dans l’univers du peintre Nicolas Poussin. D’un côté une page blanche sans histoire architecturale l’éloigne des contraintes du vieux continent et de l’autre une peinture complexe le rattache aux racines de la culture occidentale.  
Nicolas Poussin est le maitre qui continue de séduire les générations successives par sa rigueur inégalée qui nous mène dans les sphères supérieures de l’esprit. Quant à l’architecture, elle est cet art terre à terre qui s’efforce de nous élever de la simple fonctionnalité rationnelle.
Dans les deux cas l’œuvre reste inachevée et c’est au cerveau de celui qui la regarde de la compléter.